TOPIC Electrabel excelle dans ce domaine, déclare Ann Maes : « Cette entreprise a perdu des clients à la concurrence, ces dernières années, mais sa réputation est int l trabel adopte un profil discret dans ses mailings, qui exploitent intensément l L e moins cher, mais celui qui est perçu comme l acte. Ce n’est pas l ournisseur e plus fiable. Elece f ’entreprise sait sur quel bouton appuyer pour chaque client. » es données disponibles. Des groupes de pression partout L’approche adéquate des parties prenantes (Stakeholders Management) peut être cruciale dans les dossiers de lobbying, selon Joris Bulteel : « Nous sommes par exemple co-pil borons étroitement avec un client de la distribution qui souhaite ouvrir de nouveaux points de vente en Flandre. Ce genre de projets suscite d’office beaucoup de résist otes dans l es demandes de permis de bâtir. Nous collaZ chaque dossier d’expansion. Nous approchons t l ance dans l monde politique… La réussite d’un t es parties prenantes : l tielle dans l ’influence sur l la gestion de la communication. » « L jets délicats qu’il évoque – pénurie alimentaire, obésité, environnement... – l tif est essentielle, notamment en raison des médias sociaux. Aujourd’hui, chacun peut s’improviser journalist ou groupe de pression. » e secteur de l ’inst prenantes et communiquez à armes égales, voire supérieures. Cela vous donne un avant ’interaction avec l age concurrentiel. » Beaucoup de grandes entreprises l’ont compris, mais les PME peuvent aussi en tirer profit, dit-il : « Les grandes entreprises internationales ont l peut-être plus flexibles pour r un Stakeholders Management bien pensé, ont pu lancer une nouvelle activité sur le marché. » ent de st sources humaines au Stakeholders Management. Mais l es moyens d’attribuer des r espondre aux attentes de ces parties prenantes. De nombreux exemples attest es PME sont éart-ups qui, grâce à Thierry Bouckaert (akkanto) sécuriser vos activités et vos intérêts dans un monde en mutation rapide. Cherchez l À armes égales Se cramponner à la communication classique, c’est risquer d’aller dans le mur, affirme Joris Bulteel. « Il f aut es parties es parties prenantes est aussi essen’alimentation. En raison des su’opinion publique, l e secteur. Nous accompagnons donc de A à outes e el dossier dépend de es médias, l Ann Maes (Ogilvy Group) mieux avec du personnel épanoui. Elle a pourtant évoqué l depuis des années à rendre ses collaborateurs heureux parce que l aibles. L es magasins f moments de doute, cela suscite la méfiance. Le chausseur Torfs a l f Montrez vos faiblesses Selon Ann Maes, le principe qui veut qu’on ne montre que les bons côtés aux consommateurs constitue une grossière erreur. « Présenter uniquement l succès sans jamais évoquer l e culot de montrer ses points ’entreprise s’engage onctionnent es Combien de marques n’annoncent pas qu’elles vont vous améliorer la vie ? Réaction du destinataire : ‘C’est facile à dire ; prouvez-le-moi !’ oujours aux entreprises qui n’osent pas diffuser des informations négatives de peur d’être décrédibilisées : ‘Si vous l auration d’un dialogue construc- serez récompensées.’ » e sures drastiques pour résoudre l e f aites quand même t Thierry Bouckaert insiste également sur la sincérité et la transparence. La réputation s’articule selon lui banden-concurrent.nl/">autour de trois piliers : la communication externe, ce que vous faites (les services et produits) et ce que le monde extérieur en dit. L’agence akkanto gère ce triangle tout au long du processus d’assistance, depuis l’analyse jusqu’au plan de communication. Tout doit être cohérent pour communiquer de façon ciblée. « Il vaut mieux être honnête que de se t dit Thierry Bouckaert. « C’est une question de cohérence, que Colruyt a bien comprise. Voilà quatre ans d’affilée que cette entreprise domine notre baromètre de la réputation. Colruyt ne communique pas beaucoup, mais de f aire », grand patron Jef Colruyt se décline dans l e ains choix découlent d’un souci d’économie d’énergie. Le public comprend parfaitement cette philosophie de respect de l ronnement. » ● ne sont peut-être pas très beaux, mais l t es clients savent que cer’enviBECI - Bruxelles métropole - mars 2015 23 açon cohérente. Ce que dit l es magasins. Ceux-ci cas de collaborateurs victimes d’un burnout, ce qui revient à dire que la gestion du personnel était déficiente. Cette honnêteté suscite la sympathie. Je dis t out en prenant des mee problème, vous en es es R.A. R.A. Pagina 24

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