Frédéric Vermylen (Orionagroup) « Orionagroup propose des locations de bureaux meublés et équipés, dans des localisations prestigieuses : des hôtels de maître à Bruxelles. Nous y ajoutons des accords de collaborations internationaux, qui nous permettent d’étendre notre offre à l’étranger. Nous sommes membres de longue date de BECI – près de 20 ans ! – et je participe personnellement à de nombreuses activités de networking. L’impact est évidemment difficile à mesurer – on ne signe pas de contrats lors d’un cocktail ou d’une garden party – mais cela m’a permis d’établir beaucoup de contacts directs et indirects et je suis certain que cela m’a déjà rapporté des clients. » « Il existe beaucoup de clubs de networking, mais BECI m’intéresse particulièrement parce que le public correspond à ma cible principale. Il y a aussi du brassage et toujours de nouvelles personnes à rencontrer. Par ailleurs, les débats qui sont organisés sont souvent intéressants. Intellectuellement et commercialement, j’en retire quelque chose. » Eric Lacroix (CEKA Belgium) « Nous sommes le représentant exclusif en Belgique de CEKA, une gamme allemande de mobilier de bureau, que nous complétons par les fournitures d’autres marques, afin de proposer à nos clients une offre de mobilier qui s’adapte à eux. Nous sommes membres de BECI depuis quelques mois, mais j’ai déjà pris part à différentes activités – After Work, Golf Trophy et Garden Party. Je suis également membre de deux cercles d’affaires wallons – et je joue beaucoup au golf –, mais BECI me permet d’élargir plus spécifiquement mes contacts à Bruxelles. Je complète ce networking en communiquant beaucoup via les médias numériques – réseaux sociaux, site web, campagnes AdWords – et par de la prospection pure et dure. » « Le networking m’a déjà rapporté des clients, mais surtout des prescripteurs ; des gens qui ont relayé mes coordonnées dans leur propre réseau. Il ne faut jamais s’arrêter : même s’il est tard, si on a autre chose à faire, il faut fréquenter les événements. Selon mon expérience, c’est souvent à ce moment-là qu’on établit les meilleurs contacts. » Laurent Lemmens (Konvert Interim) « Konvert Interim est une entreprise familiale qui fête cette année son 50e anniversaire. Notre réseau compte 70 agences réparties sur l’ensemble de la Belgique et nous occupons environ 300 personnes. Nous sélectionnons les profils employés, ouvriers et étudiants sous contrat d’intérim ou forfait de recrutement. » « J’ai déjà participé à tous les types d’événements de networking organisés par BECI. J’en retire des contacts professionnels, bien sûr, mais aussi le plaisir de rencontrer des pairs et d’avoir des échanges en termes d’opportunités de business et de carnet d’adresses. Ce genre d’événements contribue à casser l’isolement du chef d’entreprise. C’est un networking de haut niveau, qui permet de rencontrer des gens difficilement accessibles en d’autres circonstances – et c’est ce que j’apprécie : non seulement la quantité des contacts, mais leur qualité. Enfin, ce qui distingue les événements BECI, à mes yeux, c’est la facilité des contacts et leur caractère direct : on peut aborder les gens franchement et sortir ses cartes de visite sans que ça rebute. » Alain De Pape (Murapack) « Murapack, à Gembloux, est une entreprise familiale de 14 personnes, qui, depuis plus de 33 ans, fabrique des produits en polyéthylène haute et basse densité : des sacs et sachets, gaines et films, etc. Nous sommes l’une des deux seules entreprises 100 % wallonnes dans cette activité. » « Je participe très régulièrement à des activités de networking, pas seulement chez BECI mais aussi dans d’autres cercles. Pour en retirer le maximum, je les prépare de manière proactive, en me renseignant sur les personnes présentes et leurs activités. Je privilégie les événements à contenu : les séminaires, conférences, workshops, plutôt qu’un événement purement relationnel comme la Garden Party. Ainsi, j’ai participé chez BECI aux Entrepreneurs Nights, parce qu’au-delà des contacts, on y apprend beaucoup de choses. » « Avant de rejoindre l’entreprise familiale il y a deux ans, j’ai travaillé à l’international, notamment aux États-Unis où le networking est bien plus développé. Là-bas, tout est prétexte à nouer des contacts d’affaires, à tout moment, et les relations sont très directes : on peut accumuler des centaines de cartes en quelques heures… En Europe, on est plus réservé ; le networking se déroule davantage dans un cadre organisé et l’approche est moins facile. Toutes proportions gardées, j’observe le même genre de différence entre Bruxelles et la Wallonie : les contacts sont plus directs à Bruxelles, tandis qu’en Wallonie on privilégie d’abord la convivialité avant de parler business… » BECI | rapport D’ACTIVITÉ 2014 - 36 Pagina 37

Pagina 39

Heeft u een editie, invender of digi-brochures? Gebruik Online Touch: uitgave converteren naar een online publicatie.

Rapport d'activité 2014 Lees publicatie 10Home


You need flash player to view this online publication